• Quel silence....

                          L'aurions-nous oublié ?

     

                          Les journalistes, toujours prêts à nous rappeler une date anniversaire, ont "oublié" celle-ci : 3 septembre 1939...Et pourtant, elle a compté cette date, puisque c'était le début de cette période que nous avons dû subir pendant environ 6 ans !

     

                           Pas un mot...Ah, c'est vrai, une autre guerre est dans tous les esprits, celle de Syrie...Justement, souvenons-nous...en 1939, nous n'étions pas prêts. Le sommes-nous maintenant ? Pouvons-nous intervenir sans risques ? Ce n'est pas mon propos en ce jour. Je suis simplement déçue qu'on semble avoir oublié...Mais non, on sait bien qu'il y a eu la guerre avec toutes ses misères et ses horreurs...dont ORADOUR SUR GLANE...Français et allemands vont aller se recueillir dans cette ville martyre, conséquence de cette guerre déclarée le 3 septembre 1939. Combien de morts, de déportés, de familles touchées dans leurs biens ou leurs proches ? Une guerre est une guerre...jamais bien propre malheureusement et jamais sans risques.

     

                             C'était simplement une petite "piqûre de rappel" pour qu'on n'oublie jamais !

     

     

     

     

     

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  • Commentaires

    1
    Mercredi 4 Septembre 2013 à 19:35

    Devoir de mémoire...

    2
    Jeudi 5 Septembre 2013 à 09:50

    pas plus que les médias n' ont parlé du 4 septembre 1870, et de la 3 ème république.

    il faut faire admettre comme indispensable, l' Europe, la mondialisation, et il faut tuer ce qui dérange, De Gaulle par exemple, qui avait le tort de n' être pas socialiste, mais qui avait  su dire merde à Staline comme à Roosvelt.

    Peillon est en train de nous concocter un changement de programme, pour endoctriner nos enfants.

    il va falloir ouvrir l' oeil !

     bonne journée

     bisous


    3
    Jeudi 5 Septembre 2013 à 14:49

    Des dates souvenir qu'on n'oublie pas, surtout les anciens.

    Bon jeudi toujours très estival.

    4
    Jeudi 5 Septembre 2013 à 16:07

    Endoctriner ? ça c'est déjà vu !
    Bonne journée.

    5
    Jeudi 5 Septembre 2013 à 16:09

    On a toujours du mal à oublier ce qu'on a vécu comme moments dramatiques...
    Eté également chez moi...Bonne fin de journée.

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    6
    Mercredi 11 Septembre 2013 à 19:51

    Oh oui, ce 3 septembre 1939 nous a laissé des souvenirs....

    7
    LOUANCHI
    Mardi 11 Mars 2014 à 20:41

     


    HARKIS LES CAMPS DE LA HONTE

    lien vers http://www.dailymotion.com/video/xl0lyn_hocine-le-combat-d-une-vie_news

    En 1975, quatre hommes cagoulés et armés pénètrent dans la mairie de Saint Laurent des arbres, dans le département du Gard. Sous la menace de tout faire sauter à la dynamite, ils obtiennent après 24 heures de négociations la dissolution du camp de harkis proche du village. A l'époque, depuis 13 ans, ce camp de Saint Maurice l'Ardoise, ceinturé de barbelés et de miradors, accueillait 1200 harkis et leurs familles. Une discipline militaire, des conditions hygiéniques minimales, violence et répression, 40 malades mentaux qui errent désoeuvrés et l' isolement total de la société française. Sur les quatre membres du commando anonyme des cagoulés, un seul aujourd'hui se décide à parler.

    35 ans après Hocine raconte comment il a risqué sa vie pour faire raser le camp de la honte. Nous sommes retournés avec lui sur les lieux, ce 14 juillet 2011. Anne Gromaire, Jean-Claude Honnorat.

    Sur radio-alpes.net - Audio -France-Algérie : Le combat de ma vie (2012-03-26 17:55:13) - Ecoutez: Hocine Louanchi joint au téléphone...émotions et voile de censure levé ! Les Accords d'Evian n'effacent pas le passé, mais l'avenir pourra apaiser les blessures. (H.Louanchi)

    Interview du 26 mars 2012 sur radio-alpes.net

    8
    Lanaud
    Mardi 11 Mars 2014 à 20:41

    Bonjour

    Je me souviens du tocsin à l'église voisine, un soir sinistre de septembre...

    Mon père était déjà mobilisé, mon grand frère parti depuis longtemps comme sous-lieutenant, mes cousins...La grande maison familiale bien vide. Ma mère qui voyait revenir le spectre de 1914. Ma grand-mère qui avait déjà connu l'occupation prussienne en 1870 réfugiée en Bretagne...

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