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Pour sourire un peu....
Encore que...
Bon, j'ai un peu de mal à me sortir de ce milieu hospitalier où je viens de passer plusieurs semaines...
Comme tout le monde l'a compris, je n'ai pas tout apprécié ! Et honnêtement, je suis obligée de reconnaître que tout ce qui m'a mis "hors de moi" ne date pas d'aujourd'hui ! Il y a de nombreuses années (plus de 20 ans), mon mari avait dû être hospitalisé. Il partageait sa chambre avec un homme qui avait subi des pontages mais était près de sortir...Les deux hommes avaient sympathisé et bavardaient pour passer le temps.
Un après-midi que j'étais venue voir mon mari, arrive une charmante infirmière, jolie comme un coeur, qui apporte les médicaments pour chacun des patients et repart aussi vite qu'arrivée. Mon mari me dit: "qu'est-ce que c'est, je ne prends jamais ça d'habitude..." et dans le doute, il ne prend rien, contrairement à son voisin qui "avale les siens" parmi lesquels se trouvait un suppositoire...qu'il utilise également. Et l'infirmière revient "je me suis trompée dit-elle, j'ai interverti les médicaments"...Alors, le voisin de mon mari lui répond" trop tard...j'ai avalé le suppositoire et je ne peux pas le rendre "! Il s'agissait d'un suppositoire contre la douleur....
Nous avons ri bien entendu...Comme disait mon père "tout peut toujours être plus grave". En l'occurrence rien de bien méchant mais nous en avons souvent reparlé....
Faut-il en sourire ? oui, il n'y a pas eu mort d'homme et il y a prescription !
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Commentaires
@ Cotentine
La taille des cachets ne tient pas à la rentabilité. La plupart du temps, elle est due à la quantité d'excipients nécessaires pour diverses causes : stabiliser le ou les principes actifs, rendre la chose digestible à tel ou tel endroit du circuit, etc. ou, bêtement, masquer le goût.
Pour une fois, je pense et ne dis pas tout ce que je pense !
Le rétablissement se fait très doucement.@ Magitte
Je sais que la taille des cachets est un vrai problème. Mais ce n'est pas toujours aisé à résoudre. Un exemple :
Imaginons que tel principe actif doive atteindre "intact" l'intestin sans être altéré par les sucs gastriques. On est obligé de l'enrober d'une couche d'excipients qui elle sera attaquée par lesdits sucs mais qui laissera le produit utile en bon état pour arriver au bon endroit.
Ben il suffit de faire deux comprimés moins dosés. Pas si simple : c'est l'épaisseur de la couche enrobante qui compte parfois. Et même, dans certains cas, l'apport simultané de la bonne dose de produit actif.
Et la solution gélule (à enrobage résistant) n'est pas toujours adaptée.
En bref : le problème est plus compliqué qu'un simple souci de rentabilité de la part des labos (d'ailleurs ceux-ci feraient plus de bénef avec deux comprimés qu'avec un seul plus gros), ou qu'un caprice d'infirmière.
Avaler un supppositoire c'est vrai que cela fait sourire.
Mais une erreur de médicaments aurait pu être grave...
Bon week end Geneviève
Vous avez certainement raison, mais n'empêche que ce n'est pas toujours facile d'avaler de très gros comprimés ... idem pour les gélules....
Il y a des chirurgiens qui ont déjà opéré le mauvais membre, et il y a des mamans qui sont reparties avec le bébé d' une autre mère !
Le mieux est quand même de rester vigilant !
bon dimanche
bisous
Bien certain ! la vigilance s'impose toujours ! J'en ai encore fait l'expérience pendant ce récent séjour.
Bon dimanche à vous.Avaler un suppo, c'est marrant. Les erreurs plus graves le sont moins. Comme le dit trublion et comme vous l'avez vous-même noté, il faut toujours être attentif quand on est malade.
Un homme de 71 ans a été victime d'une grave erreur médicale à La Réunion. Le chirurgien en urologie s'est trompé et a procédé à l'ablation du seul rein sain qui lui restait lui laissant l'organe malade. Ce qui l'interpelle, c'est que ce médecin a exercé en Corse avant de travailler à l'hôpital Félix-Guyon de La Réunion.
Et il y en a d'autres qu'on passe sous silence un peu partout parce que malades et familles sont contents d'en réchapper et surtout parce que se défendre contre l'administration n'est pas chose aisée.
Merci pour le moment d'humour lié à ce suppositoire. Ça me rappelle une autre histoire où la patiente avait demandé au docteur un médicament avec un meilleur goût.
Bisous et bonne journée.
Il est vrai que sur les boîtes de suppositoires, il n'est pas indiqué de quelle façon on doit les prendre ? Alors, le goût....
17COTENTINEMardi 11 Mars 2014 à 20:40Beau voyage pour ce suppositoire !Mon MARI ne pouvait pas avaler de cachet ,j'avais l'habitude de les,écraser ,et de les mélanger à des aliments ! Huitième jour de l'hospitalisation ,deux infirmières (dont une chef ) le force ,à avaler ,tel quel ce cachet,j'ai hurlé NON ,trop tard ,vous devinez la suite ,fausse route et ....je regrette encore de ne pas avoir demandé une enquête .MAGITTE ,nous même ne pouvons avaler de gros comprimés ,pourquoi les labo ,certainement conscients du problème,ne changent 'ils pas le volume de ces gros cachets ,le matin ,je suis obligée de fractionner ,un comprimé BION ,ras le bol ,la rentabilité des labo !
18COTENTINEMardi 11 Mars 2014 à 20:40A LEONED (merci MAGITTE )Pour avaler ,ces comprimés XXL ,je prends un petit marteau et les fragmente .... la molécule ,se trouve bien sortie de ses excipients ,alors ? lLe DOLIPRANE existe aussi sous plusieurs formes ,au même dosage ,alors ,fragmenté ou pas ,les labo pourraient peut être faire des recherches dans l'intérêt ,de leurs consommateurs ! Je comprends qu'un médicament ,devant se libérer dans l'intestin ,soit préservé des sucs gastriques ,aux labo de trouver la solution adéquate ! ,de toute façon ,d'autres ennuis arrivent .......certaine molécule arrive de l'étranger et ces pays sont en rupture de stock ,difficile à comprendre ,tout çà MIEUX , VAUT ËTRE , JEUNE ET BIEN PORTANT ,sous le soleil !
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Oh que oui qu'il y aurait à redire sur les hopitaux et surtout au niveau du gaspi, mais le manque de personnel est affligeant pour les infirmières et les femmes de salles qui sont débordées les pauvres.....
Continuez à bien vous rétablir.