•                    Et si, pour une fois, je vous donnais une recette de cuisine ? de mon temps ? même pas ! il s'agit d'une recette donnée il y a plusieurs décennies, par ma belle-fille "voulant se rendre utile" à Noël !

                  Voici donc pour un jour de fête (!) la recette de la DINDE AU WHISKY ...

                  Acheter une dinde d'environ 5 kgs et une bouteille de whisky; prévoir du sel, du poivre, de l'huile d'olive, des bardes de lard.
                  Barder la dinde de lard, la saler, la poivrer et ajouter un filet d'huile d'olive. Préchauffez le four, th.7 pendant 10 minutes.
                  Se verser un verre de whisky. Le boire.
                  Mettre la dinde au four dans un plat de cuisson.
                  Se verser deux verres de whisky et les boire.
                  Après 1/2 heure, fourrer, l'ouvrir et surbeiller la buisson de la dinde !
                  Brendre la vouteille de biscuit et s'enfiler une bonne rasade .
                  Après une debi-beurre, dituber jusqu'au four. Oubrir la porte, rebourner, revourner, enfin bref, mettre la guinde dans l'autre sens .
                  S'asseoir sur une butain de chaise et se reverdir 5 ou 6 verres de whisky.
                  Buire, non luire, non cuire la bringue bandant gatre heures.
                  Et hop ! 5 berres de plus.
                  R'tirer le four de la pinde.
                  Se reberçer une bonne goulée de bisky.
                  Rabasser la binde (l'est tombée bar terre). L'ettuyer et la voutre sur un blat...un clat...Sur une assiette.
                  Se béter la figure à cause du gras sur le carrelage de la buisine. Ne pas essayer de se relever.
                  Décider qu'on est bien par derre et binir la mouteille de rbisky.
                  Plus tard, ramber jusgu'au litet dorbir ze qui rezte de la nuit.
                  Le lendemain matin, à 13h30, dejeuner d'un cocktail d'Alka Selzer et d'aspirine et nettoyer le bordel dans la cuisine. Donner la dinde brûlée à manger au chien

                  Durée : Une bonne journée !

                  C'est bientôt Pâques. Voici une bonne recette que les convives apprécieront ! (L'histoire ne dit pas si le chien en a "réchappé" !

                  Petite précision : je n'aime pas le whisky ...je n'ai jamais fait cette recette !

                  Riez franchement ! cette recette change notre menu quotidien !!!

     

     

       

     

                 

     

     

                 

     

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  •               Il est impossible que vous soyez passés à côté de cette grande nouvelle que je vous rappelle "au cas où".... Tout le monde en parle, les journaux, les médias, les habitués : Nous sommes en période de SOLDES ! Les magasins affichent des rabais alléchants allant de 20 à 80%. Et je vous le dis "entre nous", il serait même question de voir nos impôts diminuer pendant cette période dans les mêmes proportions ! Mais, cette nouvelle étant prématurée, il est préférable de ne pas en tenir compte ! Il s'agit d'un rêve et non pas d'une réalité ! Dommage....

                   Il y a quelques années, j'écrivais à cette même période une petite histoire qui m'était arrivée un jour que j'avais voulu profiter d'un rabais important dans un magasin...Cette "mésaventure" je la rapporte à nouveau -ci-dessous à l'aide de ce copier/coller dont je suis une fervente adepte (ce qui n'est pas le cas pour les soldes )  

     

                    " Quand même, jadis, je profitai quand je le pouvais, de cette période pendant laquelle on fait (?) des économies...Je me souviens notamment qu'un jour, me trouvant à INNO NATION à PARIS (magasin qui n'existe peut-être plus)j'entends par haut-parleur une annonce qui me chatouille agréablement l'oreille :"Pendant 1/4 d'heure, mise en vente de duffle-Coat pour enfants, avec remise de 70%..." Vite, vite, je termine mon ravitaillement en beurre, oeufs, fromage...pour lequel j'étais venue, et me précipite au rayon Confection enfants. Et là, bonheur, je trouve un manteau que j'avais déjà admiré quelques jours avant mais que j'avais ignoré parce que...ça ne semblait pas raisonnable de l'acheter ! manteau qui devait aller parfaitement à mon plus jeune fils....Magnifique ce manteau et à un prix à faire rêver ! Passée vite du rêve à la réalité, je l'achète et le rapporte triomphalement à la maison. Le soir, nous l'offrons à notre bonhomme déjà coquet. Il était tellement heureux que je ne regrettais pas mon achat.

     

                           Quelques jours plus tard, une amie me téléphone, elle-même mère de trois enfants et qui, comme moi, était peut-être parfois "dure à la détente"...Les multiplications par trois, ça vous use une mère ! Et je lui raconte mon achat...J'étais assez fière de moi et surtout très contente...

     

                              Et patatras ! une tornade entre dans la pièce. Je vois alors mon fils arriver et j'entends ce reproche véhément "Alors, maintenant, on m'habille au rabais "....Rabais, occasion, il avait tout mélangé ! Avec ma manie de ne jamais parler devant les enfants...J'ai bien senti que j'aurais dû expliquer, ce que j'ai fait "après". Bon, mon cadeau avait été apprécié quand même...et il était trop beau pour le bouder ! Pauvre maman qui croyait bien faire... 

                  Les soldes, même si je pouvais "y faire un tour", je ne peux plus y aller et je n'ai jamais trop aimé la foule ! Et il faut que les revenus suivent ! or, comme ceux-ci sont "repartis aussitôt que reçus"...la question ne se pose plus !

                  La "bonne affaire" faite un jour n'était pas à répétition . Elle m'a tout juste permis de me souvenir et de sourire !

                 

     

     

                 

                 

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  •               Depuis que j'étais enfant, j'admirais mon grand frère...âgé seulement de 15 mois de plus que moi ! Et il en profitait, me faisant faire ce qu'il voulait, quand il le voulait et comme il le voulait ! Il était drôle, amusant, taquin et en plus, ce qui ne gâtait rien, intelligent et travailleur...L'école ? il adorait ! Comment aurait-on voulu que je lui résiste ?

                  Aussi, alors que j'étais âgée de 16 ans et quelques mois, le jour où il m'a dit que son ami François venait travailler avec lui et qu'il fallait que je leur prête ma chambre (plus grande que la sienne et possédant derrière la porte un tableau noir installé par mon père) je ne pouvais refuser ! Ces deux garçons étaient en classe préparatoire à Polytechnique et le tableau était bien pratique pour les maths !!! Je n'ai même pas réfléchi quelques secondes plus tard à cette demande "et puis, tu nous paieras bien des cigarettes, nous n'avons pas d'argent...Et tu ne nous laisseras pas sans fumer toute la journée "! En bonne "petite sœur" dévouée, j'ai accepté!!!Je sais, j'aurais dû faire remarquer que mon père n'était pas d'accord concernant les cigarettes !.... Mais ça me semblait déjà tellement dramatique que deux garçons s'enferment un jeudi après-midi pour faire des maths (quelle horreur!), que mon bon cœur aidant, j'ai donné "les sous"!

                   Lorsque je suis rentrée le soir de mon cours de droit, ma mère m'a dit: "Ecoute, je ne sais pas ce qu'ils ont fait dans ta chambre, mais ils ont bien ri". Bien entendu, j'ai inspecté les lieux, mais je n'ai rien vu d'anormal...Le soir en allant me coucher, impossible de m'installer entre mes deux draps dessus/dessous, ils étaient cousus ensemble ! Bon...sur l'instant, ça m'a amusée, mais au bout de la 6ème ou 7ème couture, j'étais furieuse ! et je me souviens être allée dans la chambre de mon frère avec lequel je me suis disputée ! Mon père est sorti de sa chambre pour venir mettre le holà ! Nous avons frisé l'incident diplomatique !!!

                 Quand je vous disais que les souvenirs se rappelaient à moi ! celui-ci est risible ! Alors, riez à mes dépens ! j'étais vraiment la "sœur bête et dévouée" !

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  •              Et si pour changer, j'essayais de vous faire sourire ? C'est que, depuis une quinzaine de jours, entre les attentats de PARIS et mes soucis de "Mamie blogueuse", je ne vous ai entretenus que d'événements tristes....

                 Alors, pour essayer de me faire pardonner, je vais vous raconter une histoire très courte, réelle celle-là et qui m'est revenue en mémoire après avoir entendu des chants de Noël....Mon plus jeune fils avait une dizaine d'années. Nous étions tous à table et, si mes souvenirs sont exacts, Henri Salvador chantait un chant de Noël, une prière plutôt, dans laquelle étaient ces mots "Faites que mon Papa ne soit jamais vieux"...Alors dans le silence, s'est élevé une petite voix, bien claire et nous avons entendu cette phrase "trop tard, c'est déjà fait" ! Nous en avions tous perdu la voix et le papa donc ! il avait alors environ 42 ans ! La petite voix bien claire avait pour prénom...Philippe, le dernier du trio, celui que ses frère et soeur appelaient le "chouchou de son papa" ....Si chouchou il y avait, il avait sûrement dégringolé d'un échelon ! Et en y repensant, je me dis que les enfants peuvent être cruels envers les parents. (Avant la guerre, je trouvais ma mère "un peu vieille" alors que née en 1900, elle avait tout juste 39 ans ! 

                  Petite histoire sans grande importance, mais plus drôle que tout ce que je vous ai raconté ces jours-ci, dont le but est uniquement de vous dérider et peut-être de vous rappeler quelques souvenirs !

                  Souriez aussi pour une autre raison : si je suis arrivée à écrire aujourd'hui, imaginez-moi me grattant la tête et me demandant comment j'allais faire pour "publier" ! Je l'ai dit, je suis entêtée et j'ai décidé de "faire comme si"... 

                  Dans deux secondes, je vais appuyer sur le bouton "publier" et ensuite "advienne que pourra" !

                 

     

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  •               "Toujours sourire, le cœur douloureux"... Je crois que ces paroles sont extraites de l'opérette "Au Pays du Sourire", opérette ancienne que bien évidemment j'ai connue dans mon enfance ! Mon père en connaissait tous les airs et surtout les chantait !

                  Nous avons le cœur douloureux depuis ce Vendredi 13 novembre de sinistre mémoire .... Notre moral n'est pas bon. Il nous faut combattre ces réactions négatives que nous avons eues...

                  Alors, pour vous faire sourire malgré tout, je vais vous conter une petite histoire jadis racontée par mon père "grand raconteur d'histoires devant l'Eternel" !

                  "Une jeune secrétaire arrive très en retard à son bureau. Le Directeur lui en fait la remarque et n'est pas avare de reproches ! La secrétaire lui répond que ce n'est pas de sa faute, qu'elle a été interpellée par un homme qui en, plus, l'avait suivie....Elle semblait en effet traumatisée (à retardement) ! Alors son patron ne mettant pas vraiment en doute sa réponse...encore que...pose cette question innocente : "Et c'est ça qui vous a mise tellement en retard ?" ce à quoi la secrétaire répond avec candeur et regret "Que voulez-vous Monsieur, cet homme marchait tellement doucement !".....

                  On a beaucoup parlé en début de semaine dernière du harcèlement envers les femmes, dans la rue, le métro et même à l'intérieur des lieux de travail...C'est malheureusement vrai....

                  Cette histoire bien ancienne, vous fera peut-être sourire ? C'est son but...Alors SOURIEZ (même si vous n'êtes pas photographiée (!)). Montrez à nos ennemis actuels que le rire, s'il est le propre de l'homme, est en plus bien français !Et faisons nôtre cette devise :

                  "SOURIRE QUAND MEME"

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