Il semble que depuis ce temps là les valeurs morales en aient pris un coup, sous l'emprise du matérialisme. Et maintenant nous mordons le tapis à pleines dents.

La vie n'est plus ce qu'elle était, la morale non plus ...
Comme vous avez raison...

La morale alors avait plus de valeur que l'argent. Aujourd'hui c'est le contraire pour beaucoup.

Je retiens cette expression que je connaissais "travailler au dehors", mine de rien elle était  valorisante pour les femmes, on leur reconnaissait du travail à la maison, soit du travail domestique, l'adjectif semble péjoratif mais du travail. Aujourd'hui une femme qui ne travaille pas dehors ne fait rien. C'est pire. Aux yeux du monde.

Idem pour les retraités, comme s'ils volaient l'argent qu'on leur donne, et pour les chômeurs qui, sans aucun doute, ne veulent pas travailler. Tout le monde semble oublier que trouver un emploi n'est pas chose aisée et que bon nombre de retraités survivent avec des pensions de misère. Drôle de monde !

On était plus heureux avant avec moins de "matériel". Candide avait (presque) raison "cultiver son jardin" est un pur bonheur.

Bonne journée, Geneviève. Ne pensez pas trop au temps jadis. Les regrets ne sont pas bons pour le moral surtout quand l'avenir semble noir.

Je vous embrasse et vous dis à bientôt.

Les femmes "à la maison" ont toujours du travail et..même beaucoup ! Les retraités aussi et ils prennent le temps !!! ils ont tellement travaillé...Les chômeurs ? il y a toujours eu ce qu'on appelait des chômeurs professionnels et il y a...tous les autres qui sont nombreux et aimeraient bien trouver ou retrouver un emploi...
Je ne pense pas au temps jadis avec regret, mais parfois avec un peu de nostalgie...C'était le bon temps ! Les temps actuels sont durs, la vie est dure....
Je vous embrasse Françoise.

un rappel bien utile !

c' est  en travaillant qu' on se sent utile, et l' époque actuelle vise plus les loisirs !

On voit bien que plus on offre, plus on veut !

Il y aura un retour  de flammes !

Dans un monde où l' industriel privilégie les robots jamais malades ni en grève, le fait que beaucoup de femmes travaillent pour le confort , mais peut être pas pour le bien être des enfants, participe au chômahe exponentiel.

Mais la nouvelle génération n' a pas connu la guerre, mais la facilité, ce qui explique la dérive !

 bonne journée

 bisous

Oui, mais pour les loisirs, il faut de l'argent et pour avoir de l'argent, il faut travailler ! CQFD.

Nous avions moins de loisirs, mais la vie était plus douce me semble-t-il ? Petits bonheurs de mon enfance, où sont-ils ?

Bonne journée.

Je suis beaucoup plus jeune que vous mais c'est un peu ce que j'ai connu aussi, pas la période de la guerre bien sûr.

Depuis tout a bien changé...

Bon mercredi

Bien sûr, c'est surtout depuis une vingtaine d'années que tout a tellement changé...
Bonne soirée.

Souvenirs..souvenirs...

Moi aussi, j'aime le siècle présent. J'ai su profiter de ce qu'il nous apportait comme progrès, ce qui ne m'empêche pas de regarder derrière moi avec tendresse...et peutêtre un peu de nostalgie. L'éducation fait défaut, la nôtre était sans doute trop rigide ? C'est ça qui, pertsonnellement, m'a forgée...
Les maladies ? Le Sida a remplacé la shyphillis ? La tuberculose revient...elle a tué dans mon jeune temps beaucoup de monde...Les enfants travaillaient très tôt (trop tôt et trop). Heureusement, cela a changé... Ce qu'il faut, c'est comparer les époques. Et je persiste : il me semble que la vie, même avec ses contraintes d'alors, était plus douce. Que vont devenir nos jeunes ?
Petit à petit, les progrès sont arrivés, bons ou moins bons. mais je regrette que l'éducation ne soit plus une priorité, sauf dans quelques familles heureusement. Il semble qu'on veuille y revenir ? Peut-on revenir en arrière ?
Amicalement.

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ET MAINTENANT ?       Il nous reste les souvenirs ! Le plaisir de retrouver chez nos enfants , tout le bien et le bon que nous avons essayer de leur offrir . Le courage et l'honneté ,la sagesse et la bonté, le respect  de l'autre. Peut être ont'ils trop respecté les consignes !Le monde actuel est sans pitié !Malgré la guerre ,je garde de bons souvenirs de mon enfance,j'ai oublié les autres ... Un souvenir ,celui ou j'étais assise près de ma mère ,laregardant broder sur machine CORNELLY. Juste une petite lumière éclairait son ouvrage ,d'une main experte ,elle maniait la manivelle ,sous la table et de là se créaientt des paysages de toutes les couleurs.au point de chaînette . 

J'aime le siècle dans lequel je vis, mais je regrette le votre, pour la droiture, la morale, le respect des jeunes de votre génération. L'éducation était importante, et représentait des valeurs importantes pour lesquelles les parents étaient fières de leurs enfants. Je ne veux pas dire non plus que tous nos jeunes sont mal-élevés, mais des omissions manquent comme le savoir-vivre par exemple. Ce n'est pas normal, qu'un enfant interrompe un instituteur, un adulte sans y avoir été autorisé. Ce sont ces petites choses, qui faisaient le charme jadis et que j'envie aujourd'hui. Quant à la litanie "Ah c'était plus beau avant". Il y avait beaucoup plus de guerres, il y en moins maintenant. Il y avait plus de morts, il y en a moins. A l'époque, il y avait beaucoup de syphilitiques et de tuberculeux, il n'y en a plus du tout. Avant on ne se déshabillait pas parce qu'on ne voulait pas faire voir les cicatrices de la variole. L'OMS a éradiqué la variole. Nous mourions tous autour de quarante ans, l'espérance de vie avoisine aujourd'hui les quatre-vingts ans. Les enfants travaillaient au début du XX siècle dix heures par jour. Maintenant, hélas, on ne travaille plus que trente-cinq heures par semaine. Tous ces regrets s'expliquent par le fait que nous avons beaucoup de mal à vivre dans le présent. Je pense qu'il y a une difficulté humaine à saisir ce qui est important dans le présent. Du coup, nous nous projetons un peu vers le passé-nostalgique. Très belle nuit. Amicalement, Pimprenelle.