•               "Prends le temps de réfléchir"...c'est ce que me disaient mes parents jadis ! J'étais une enfant alors...Et si les adultes prenaient le temps et la peine de réfléchir, la vie n'en serait que meilleure !

                  Réfléchir avant de faire des promesses qu'il ne sera pas facile de tenir (et même qui se révèleront impossibles à mettre à exécution, malgré parfois, une bonne volonté évidente ! Le "j'voudrais bien, mais j'peux point" rendu célèbre par Annie Cordy, a parfois un goût amer...La déception est là, déception pour ceux à qui on a fait la promesse, déception (ça peut arriver) de celui qui l'a faite ! Là, la réflexion aurait été très utile : se souvenir qu'il ne faut jamais promettre ce qu'on n'est pas assuré de mener à bien...

                  Réfléchir avant d'écrire...employer les mots qu'il faut, les peser, en connaître bien le sens et essayer de ne froisser et peiner personne, à moins que le travail d'écriture n'ait été fait volontairement, que dans le but de nuire ! ça peut arriver et dans ce cas, la méchanceté n'est pas loin, de même que la vengeance parfois...comme disait Fernand Raynaud "les gens sont méchants vous savez...."!

                  Réfléchir avant de "dire"...Tourner 7 fois sa langue dans sa bouche est une bonne recommandation peu mise en pratique souvent ! Dire ce que l'on pense et surtout penser ce que l'on dit et se souvenir que "toute vérité n'est pas bonne à dire"! Que voilà des sujets de réflexion !

                  Réfléchir avant de lire un ouvrage un peu "sulfureux". Se poser beaucoup de questions, dont celle-ci : "Quel était l'état d'esprit de celui ou celle qui l'a écrit ? Attirer des lecteurs pour que le livre "rapporte" à son auteur ? Je n'aime pas les journaux qui racontent la vie des "grands de ce monde" artistes ou autres ! je n'aime pas les livres qui en font autant! Ils peuvent faire tant de mal ! Journaux à sensation, livres sulfureux, vous n'êtes pas mes amis ... Ils peuvent détenir une part de vérité, mais ils sont assurés de faire du mal... Patauger dans la boue, même celle "de haut niveau" n'est pas agréable. Et que cela rapporte des revenus rondelets à l'auteur...je ne peux l'admettre... Et dans quel but ? Curiosité morbide...Quelle horreur !

                   Le temps de la réflexion est venu...Alors, réfléchissons !

     

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  •                     Quelle tristesse ! Comment peut-on en arriver là ? On dit que "la vengeance est un plat qui se mange froid..." Celui-ci est encore tiède mais tellement indigeste ! Je veux bien sûr parler du "livre" (peut-on appeler ça un livre ?) écrit par une certaine personne qui, pendant un temps, aurait voulu être "la première dame de France" ! Minable...Cet étalage de la vie privée, cette méchanceté dans le but de nuire, ne peuvent engendrer que le dégoût...

                  Dieu merci, les médias ont été dans l'ensemble réservés et sont passés à "autre chose"... Mais le livre est là. Si "les paroles s'envolent" chacun sait que les "écrits restent". Quel était votre but Madame ? Nuire ? vous avez certainement réussi. Profitant de votre position au sein d'un hebdomadaire, vous avez organisé un étalage public (un déballage même) afin que "nul n'en ignore" ! C'est bête et méchant... Guidée par méchanceté et jalousie sans bornes, vous avez "tapé là où ça fait mal"... Il s'agit d'un manque total de dignité... Nous avons eu des premières dames dignes de ce nom qui n'était pas usurpé....Que votre réaction à l'idée que votre compagnon "allait voir ailleurs", ait été guidée par la peine, voire même le désespoir, cela peut se comprendre. Mais en arriver, après plusieurs mois, à confier à un livre destructeur ce que vous ressentiez et dans ce but de NUIRE, personnellement je ne peux l'admettre et nous sommes beaucoup dans mon cas. Je n'ai entendu personne, depuis hier, dire que vous aviez eu raison ! Et en plus, comme je suis une "ergoteuse", je me pose cette question : Etiez vous désintéressée ? Le "gâteau" vous tentait sans doute ? Le bien de la France ? pas du tout ! et cela, je ne vous le pardonne pas. En atteignant un homme qui actuellement n'a pas besoin de ça, vous atteignez la France qui une fois de plus, se donne en spectacle à l'étranger... Elle n'a pas besoin de ça non plus !

                  Et la vie privée ? qu'en faites-vous ? Votre vie privée de même que celle de votre ex-compagnon vous appartiennent. Nous ne devons pas en subir les conséquences. La France n'a rien à faire de tous ces bruits d'alcôve. C'est lamentable... Je ne défends personne, je ne suis pas guidée par mon attachement à un des membres de notre gouvernement...Simplement, comme beaucoup, je n'aime ni la méchanceté, ni l'idée de vengeance...Et nuire volontairement à quelqu'un ne me convient pas !

                  Tout cela, il fallait que je le dise et que je l'écrive...

               

                 

                  

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  •               Et voilà ! elle est faite cette rentrée des classes...dans la sérénité ? Peut-être pas partout ! Faite pour les élèves, faite pour les enseignants...ce qui m'amène à "reparler" de ces enseignants que nous avions jadis...

                  Nous les appelions "instituteurs" "institutrices" et comme nous les aimions ! Ils étaient issus à peu près tous, de "l'Ecole Normale d'instituteurs"...Belle école qui leur apprenait la fréquentation des enfants et les formait au mieux ! Pas de "professeurs des écoles" alors...Si leur titre était moins "ronflant", leurs capacités et leur savoir étaient immenses...Dévoués au maximum, admirés par leurs élèves qui oubliaient souvent leur sévérité indispensable...Nous les appelions "Monsieur" ou "Madame"...ça forçait le respect. On savait qu'ils détenaient le "SAVOIR" et que leur rôle était de nous le transmettre...Les parents ne venaient pas les "attendre à la sortie" pour leur faire des reproches ou...leur taper dessus ! J'ai le souvenir d'institutrices sévères, mais à qui je dois beaucoup ! Elles m'ont fait aimer le calcul, la grammaire, la lecture (oh combien !), la poésie...Leur devoir beaucoup ? mais c'est tout que je leur dois...Puis vinrent les professeurs...plus spécialisés mais tellement "calés"...A eux aussi je dois beaucoup tout ! J'ai le souvenir d'un professeur de français qui m'a tellement fait aimer la littérature et les "classiques" en particulier ! Elle était très, très, très sévère et ne laissait rien passer. Et quand elle vous disait en vous rendant un devoir "ça, c'est de la littérature à 5 sous le mètre"...vous n'aviez pas envie de pavoiser  ni surtout de vous rebeller !

                  Je crois que dans les classes élémentaires, il y avait parfois des "remplaçants" qui n'étaient pas passés par l'Ecole Normale. Mais si je me souviens bien, il fallait avoir obtenu le Brevet Supérieur pour postuler...Personnellement, je n'ai jamais eu de remplaçantes...

                   Je parle bien sûr de ce que j'ai connu et également de ce que mes enfants ont connu...C'était jadis...

                   Je pense que ce n'est plus tout à fait la même chose. Les "enseignants" comme on les appelle maintenant, sont des "Professeurs des Ecoles"...ça "en jette" comme disent les jeunes...Est-ce que l'enseignement est meilleur ? Est-ce qu'ils sont autant aimés et respectés par leurs élèves qui les appellent souvent par leur prénom ? J'ai oublié de parler de la tenue impeccable de nos anciens maîtres et maîtresses...Actuellement, quand je vois à la télévision des reportages sur l'école, je suis souvent choquée de la tenue des enseignants...Laisser-aller semble être le maître-mot ! Il y a certainement des exceptions, mais on nous présente plutôt des personnes avec cheveux longs, gras et tenue "décontractée"...Je sais, moi je ne suis pas de l'époque actuelle, et il m'est pénible de constater ce laisser-aller...Comment respecter ses supérieurs dans ce cas ?

                    Et puisque l'école est "aussi" faite pour instruire, que dire de ces enfants qui lisent avec tant de difficultés et qui arrivent souvent en 6ème sans pouvoir comprendre un texte, parce que mal lu ! Le calcul ? malgré son appellation de "maths"...il n'a pas plus de chance que la lecture souvent ! Bien entendu, il y a des enfants doués qui "arrivent" ! ils ont bien du mérite !

                    Notre école a été...ce qu'elle était ! mais pour la plupart des anciens elle s'est révélée efficace. Instruction et éducation étaient bien présentes. Et maintenant ?

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  •                    1er - 2 - 3 septembre 1939 ... Les troupes nazies avaient envahi la Pologne. La France et l'Angleterre avaient envoyé un ultimatum à Hitler pour lui demander de se retirer de ce pays...et le 3 septembre, ce fut la déclaration de guerre ... cette guerre qui devait être une "guerre-éclair" ! Dès le 1er septembre, nous savions à quoi nous en tenir...et le 2, l'ordre de mobilisation générale avait été placardé sur tous les bâtiments publics, panneaux divers... Le 3, ce fut la "Déclaration de guerre à l'Allemagne"...C'était un dimanche...triste ! Quelle effervescence dans le pays et dans les familles ! Bon nombre de ceux qui étaient rappelés avaient déjà "fait" la grande guerre et se souvenaient.

                  Je n'avais pas encore 17 ans mais tous les récits de mon père sur ses souvenirs de tranchées me revenaient à l'esprit et très franchement...j'avais peur ! Je pleurais je m'en souviens...Que se passait-il ? Mon petit univers s'écroulait...Je n'avais pas encore eu le temps de profiter de mon adolescence ! c'est qu'à cette époque, l'enfance se prolongeait un peu...Les responsabilités ? je ne connaissais pas encore...mais j'ai vite appris, mon père et mon frère étant sous les drapeaux...Seule avec ma mère, il m'a bien fallu me rendre à l'évidence, on devait pouvoir compter sur moi ! Terminée l'enfance insouciante ! Et je ne savais pas tout, je n'imaginais même pas...

                   Et au travers de drames, personnels et communs, il nous aura fallu attendre cinq ans pour jouir, enfin, d'une semi-liberté et près de six ans pour que cette guerre, qualifiée "d'éclair" en 1939, voit la capitulation de l'Allemagne et le retour de ceux qui restaient  parmi les prisonniers et autres déportés. Combien n'ont jamais revu leur pays, leur famille ?

                   En ces jours anniversaires, je ne peux que souhaiter qu'on ne revoie jamais une horreur pareille et que les hommes, parfois un peu trop "va t'en guerre" admettent que la guerre n'est pas une solution...

                   "Si tous les gars du monde pouvaient se donner la main..." N'oublions jamais !

     

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