•                                       Wagons rouges et verts.....

                                          Je ne sais si c'était le bruit des rames entrant en gare, ou cette odeur particulière, mais quand j'étais très jeune, j'adorais prendre le métro !  Goûts singuliers sans doute...Il est vrai qu'à cette époque, je ne l'empruntais pas aux heures d'affluence. Non, pour moi, c'était une promenade, quand ma mère nous emmenait "à PARIS", nous petits banlieusards....Il fallait déjà prendre le train à JUVISY, puis suivant la gare d'arrivée à PARIS, métro à Austerlitz, à St Michel ou plus rarement jusqu'à la gare d'Orsay (je ne me souviens plus du nom de la station !). Le plus souvent, c'était Austerlitz ou St Michel pour aller voir mes grands-parents, ou encore, aller dans les grands magasins (Louvre, Belle Jardinière, Bazar de l'Hôtel de Ville, Samaritaine). C'était la grande sortie ! Une véritable expédition...Et ce plaisir d'une promenade en métro...Après être montés dans un des wagons de couleur verte, ceux de seconde classe, on s'installait sur ces bonnes vieilles banquettes en bois, bien dures. Et nous regardions "le paysage" ! pas très varié celui-là, mais on s'amusait à lire les publicités peintes sur les murs, d'une station à l'autre, à intervalles réguliers : "DU......DUBO.... DUBON...DUBONNET...", et ça recommençait, jusqu'à la station suivante...ça avait l'avantage de nous faire tenir tranquilles, ce n'était déjà pas si mal.! Et on énumérait le nom de ces stations....Nation, Hôtel de Ville, Châtelet, Louvre, etc....Un vrai livre dont on tournait les pages à toute vitesse ....Parfois, ma mère plus généreuse (ou qui avait peur de la foule), prenait des tickets de première classe ! Wagon rouge (pas de tapis rouge quand même), banquettes recouvertes de moleskine et infiniment plus confortables que les banquettes en bois ! Et toujours ces portes qui se fermaient automatiquement !

                                              Les tickets de métro, achetés avant de descendre sur les quais, étaient vendus soit par carnets, soit à l'unité et si on le voulait, pour des trajets aller-retour (ce qui revenait moins cher que des billets simples). Et en arrivant sur le quai, passage obligatoire devant l'employé assis dans une sorte de petite guérite, à qui on tendait son billet pour qu'il fasse un trou dedans, attestant ainsi que vous étiez en règle avec l'administration et que vous aviez payé votre place ! Ah mais ! pas question de resquiller ! Pour les travailleurs qui empruntaient la même ligne deux fois par jour, carte d'abonnement à faire poinçonner également ! L'employé avait un costume bleu marine, et une casquette...Combien de petits garçons qui trouvaient ça si joli, demandaient au Père Noël une panoplie d'employé de métro (surtout pour la pince à faire des petits trous ! )."J'fais des trous, des p'tits trous, toujours des p'tits trous..."comme dit la chanson.....

                                             Plus tard, quand j'ai utilisé le métro pour aller au travail, j'ai commencé à trouver ça beaucoup moins intéressant...Etre serrés matin et soir, compressés, se faire écraser les pieds...bon, il y a mieux. Mais qu'est-ce que c'est pratique !  Je crois que ce que j'aime dans le métro, c'est l'ambiance ! Quand je vous le disais que j'avais des goûts singuliers ! Et puis, tout s'est modernisé : escaliers mécaniques, tapis roulants pour les changements importants...Plus d'employé en arrivant sur les quais...Il y a ceux qui paient et...ceux qui resquillent ! Et pour moi qui suis devenue provinciale, que de risques d'erreurs aux correspondances ! Je me souviens être allée à PARIS il y a déjà de nombreuses années, j'ai essayé de changer à NATION et me suis retrouvée à plusieurs reprises sur le quai "Direction BOISSY ST LEGER"..Qu'est-ce que vous vouliez que j'aille faire là-bas, moi j'allais dans le centre de PARIS ! J'ai bien compris qu'on ne voulait pas de moi, et je suis ressortie et....j'ai pris un taxi ! Ouf....

                                              Ils sont plus beaux les métros maintenant, les rames sont silencieuses, il n'y a plus de 1ère et 2ème classes je crois, les banquettes sont plus confortables...Mais je préférais "les miennes" ! Elles étaient propres elles, elles n'étaient pas éventrées ni taggées...Autres temps, autres moeurs...
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  •                                       La femme au foyer....

                                          Peu de mères de famille avant la guerre, "travaillaient au dehors" comme on disait alors ! Et pour cause ! Le travail à la maison suffisait amplement à leur garantir des journées bien remplies...Depuis le lever de très bonne heure, la préparation du petit déjeuner, la surveillance des enfants qui devaient aller à l'école...pas le temps de penser à autre chose ! Pour le petit déjeuner, il fallait déjà moudre le café avec ces bons vieux moulins si sympathiques à admirer maintenant...première fatigue...pendant que le feu était allumé ou, comble du modernisme que le gaz était allumé et que l'eau était mise à bouillir ! On avait l'habitude, mais tout de même...Puis il fallait installer les enfants à cette table du petit déjeuner et veiller à ce qu'ils ne s'attardent pas trop pour ne pas être en retard à l'école ! Et  leur faire faire au moins un brin de toilette, ce qu'ils escamotaient facilement si la mère n'y prenait garde ! Lorsque tout le monde était parti, les enfants à l'école, le mari à son travail, les affaires sérieuses commençaient...Ménage tout d'abord, balayer, essuyer la poussière, faire les lits après les "avoir mis à l'air"...Aller faire les courses, préparer le repas...se dépêcher toujours...Entre temps, lessive, repassage tout ça sans appareil ménager, s'occuper du jardin si vous aviez la chance d'en avoir un, et parfois aussi s'occuper des habitants du poulailler... Et voilà, les enfants rentraient pour le déjeuner....La mère n'avait pas encore trop le temps de s'asseoir...Servir les affamés, intervenir dans les disputes entre frères et soeurs, vérifier que chacun, bien nourri, repartait à l'école avec les mains propres et un nouveau coup de peigne donné à la va vite...Ne pas oublier le petit sac à goûter.... Ouf ! enfin seule jusqu'à au moins 16h.30 ou 18 heures si votre petit monde restait à l'étude...Seule ? oui mais pas inoccupée ! Coudre, raccommoder (les chaussettes s'usaient vite et...on les reprisait), tricoter des vêtements, préparer la soupe pour le soir...Après le retour des enfants, surveiller les devoirs, faire réciter les leçons....S'occuper à nouveau de la toilette et envoyer tout ce monde au lit ! Ranger, faire la vaisselle et se mettre enfin au lit pour un sommeil réparateur (?) pas toujours ! Fourbue, rompue, la mère pouvait enfin dormir un peu...à la condition qu'aucun des enfants n'ait de problèmes, ne tousse, ne soit malade.....

                                             Vous pensez que j'exagère, que je noircis le tableau ? Mais non ! C'est ce que j'ai vu faire à ma mère jusqu'à la guerre. Ah ! oui, elle aurait aimé aller travailler à l'extérieur, mais qui aurait fait ce travail de forçat qu'était le travail des femmes ? Et quand elle entendait dire "elle ne fait rien, elle reste à la maison", elle pensait que ce n'était pas très juste ... Et que dire des quelques femmes qui, en plus du travail à la maison, allaient travailler parce que le mari ne gagnait pas assez ? Pas étonnant que les femmes soient alors "vieilles" avant l'âge...Et on parlait des "faibles femmes" ! C'est un comble ça ! Elles étaient fortes, moralement et physiquement.... Elles ont su  le démontrer pendant la guerre. Sans être féministe, je trouve que leur rendre justice maintenant est tout à fait normal ! Redressez-vous Mesdames, les hommes ne peuvent que vous admirer ! Il n'y avait jadis pas de "Journée de la Femme".  Quelle injustice ! Faisaient-elles les 35 heures ? oui, certainement, mais dans une journée! La femme l'égale de l'homme ? non, elle est plus forte ! (aïe, qu'est-ce que je vais prendre !).

                                               Tous les progrès qui rendent le travail des femmes moins pénible, ne leur permettent pas toujours d'avoir plus de temps pour elles. Non, elles sont un peu moins fatiguées et très souvent maintenant aidées par leurs maris. Ce n'était pas le cas jadis....Tout évolue heureusement....Encore un petit effort et on verra Madame lisant son journal dans son fauteuil, pendant que Monsieur s'activera à tous les travaux ménagers ! Quelle revanche !

     

                                            

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  •                                       Lundi, jour de lessive.....

                                          C'était immuable....Il n'y avait alors pas de "Journée de la Femme", tous les jours, elles étaient bien occupées et le Lundi spécialement ! Ce jour-là, dans presque toutes les maisons, ça sentait la lessive; les lessiveuses bien pleines étaient sur les réchauds à gaz, les cuisinières...ou si vous aviez la chance d'avoir un endroit spécial, une buanderie, sur un petit poêle qu'on "poussait à fond" et qui amenait le tout à ébullition ! Quelle journée ! Je me souviens de ma mère, bien installée dans cette buanderie, avec lessiveuse et baquets d'eau, un dans lequel on lavait le linge transféré de la lessiveuse, l'autre pour le rinçage. Et hardi l'huile de bras ! on frottait tout ça sur une planche à laver, et avec une bonne brosse bien raide ! Et  encore, chez nous c'était "moderne" ! cette buanderie avait l'eau courante, un écoulement par une grille...Il fallait quand même vider les baquets, travail de force ! Moi, quand j'étais jeune femme et jeune mère, je lavais sur l'évier, comme tant d'autres...Mon mari m'aidait à porter la lessiveuse sur le gaz...et à tordre le linge ! Quels souvenirs ! Je me souviens que ce jour-là, ce n'était pas le moment que les enfants tournent autour de moi...Je n'avais aucune patience, j'étais absolument morte de fatigue .... Au fait, pourquoi la lessive était réservée au Lundi ? Peut-être parce que ce ,jour-là, il y avait moins de cuisine à faire, les restes du Dimanche étaient les bienvenus ...Ou tout simplement "parce que c'était comme ça !".

     

                                               Heureusement, les progrès sont arrivés, d'abord des produits un peu plus efficaces, on commençait à moins frotter, les lessives qui lavaient "plus blanc que blanc" (!) rivalisaient de publicité ! Pour un peu, on aurait pu croire que la ménagère n'avait plus rien à faire...Et surtout, petit à petit, le lave-linge qu'on appelait tout simplement machine à laver et qui a "libéré la femme". Oui, c'était une véritable libération de cette corvée de lessive ! Ma première machine à laver avait besoin de manipulations quand même : je devais sortir le linge pour libérer le tambour et effectuer l'essorage ensuite ! Mais, par rapport à ce que j'avais connu, c'était un jeu d'enfant ! Puis, l'automatisme a vite fait son apparition. Maintenant, la lessive se fait pendant que vous dormez, ou pendant que vous êtes au travail....Encore un petit effort, et le linge sortira de là tout repassé ! Vive le progrès !

                                                 Ma mémoire aidant, je me souviens des lessives de ma grand-mère en Lorraine...Elle allait au lavoir municipal, transportant sa lessiveuse sur une brouette...Nous aimions beaucoup aller avec elle quand nous étions en vacances! Ces dames ne parlaient pas que de leurs travaux lessiviels...Les absentes devaient avoir les oreilles qui tintaient un peu...que voulez-vous, il faut bien se distraire ! Et puis, les vaches qui rentraient des champs leur rendaient une petite visite intéressée, puisqu'il s'agissait pour elles de "boire un petit coup"...L'eau du lavoir et de la fontaine servait à tout. C'était sympathique, sans façons...Et ensuite, on allait étendre le linge sur le pré derrière la maison de mes grands-parents. Il sentait bon ce linge ! Mais comme les femmes étaient méritantes...

                                                 Tiens, je sens encore l'odeur de lessive...Souvenirs odorants...Et je suis très heureuse d'avoir connu tout ça...mais qu'est-ce que j'apprécie les progrès ! il faut ce qu'il faut ! le folklore, c'est bien, mais la fatigue en moins, c'est mieux !

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  •                                       Au fil du temps....

                                          Que de souvenirs rattachés à ces nombreuses années....Quand je me retourne, je constate que les lieux où j'ai habité font une assez longue liste.... Tout d'abord, de ma naissance à PARIS, dans ce quartier du Champ de Mars où je suis née un soir de Noël il y a...ah oui ! tant que ça ?; De cet endroit, pas beaucoup de souvenirs, j'étais trop jeune : il ne me reste que quelques images du Champ de Mars et de ses balançoires et manège. Il faut croire que pour moi, c'était important ! Et puis, notre arrivée en banlieue dans une maison avec jardin et tous les agréments y attachés pour des enfants : grand air, jeux, animaux...là à JUVISY/ATHIS, j'ai beaucoup de souvenirs, à vrai dire tous mes souvenirs d'enfance et de jeune adolescente... C'est là que je suis allée à l'école, que j'ai eu des camarades, des amies, des enseignantes que j'ai aimées, d'autre que je n'ai pas aimées (ça arrive !)...
    Là que j'ai appris ce que je sais (en partie)...Enfin, là était mes meilleures années de jeune... Puis, c'est là que mes parents et moi avons souffert de la disparition de mon frère suite à cette guerre impensable mais presque prévue ... Et c'est de là que tout s'est écroulé un soir d'avril 1944. Plus de souvenirs...le néant...

                                             Entre temps, il y avait eu les vacances en Lorraine chez mes grands-parents, adorables vieillards que je n'ai jamais oubliés. Puis les vacances dans la baie du Mont St Michel, à JULLOUVILLE, vacances de rêve à l'époque..Les jeux dans le sable, la mer, la campagne...Que des bons souvenirs.

                                             Après la guerre, mon mariage et notre installation à ATHIS-MONS, revenant ainsi dans mon ancienne région...Puis retour à JUVISY avec un enfant, puis deux, puis trois....Nous habitions alors dans l'ancien collège où mon frère avait fait toutes ses études et où le peu de bâtiments qui avaient échappé au bombardement avaient été transformés en logement pour les sinistrés.... Je retrouvais presque mon quartier... Quelques années plus tard, retour à PARIS avec notre petite famille... Puis les vacances pendant cette période, à JULLOUVILLE d'abord et ensuite dans le Jura, magnifique région reposante et verdoyante où nous sommes allés pendant 30 ans ! Puis le mariage de nos enfants avec, pour nous "retour à la case départ"...nous n'étions plus que deux !  Encore quelques années, puis la retraite...et le départ en Provence, dans cette maison où beaucoup se retrouvaient à diverses occasions et qui voyait arriver les petits-enfants en vacances ! Et puis, la roue a tourné !

                                              Comment faire pour oublier tous ces endroits où au moins un petit souvenir se tient caché ? Je ne le peux et ne le désire pas...C'est comme si je feuilletais un livre, toujours le même, de temps en temps....et toujours avec autant de plaisir. Vie, vacances de jadis et vacances plus proches, font un tout. Je ne regrette rien, le temps passe c'est dans l'ordre des choses, mais ça m'aide à vivre de me rappeler. J'ai vu beaucoup de choses, pas toujours les meilleures, j'ai vu arriver beaucoup de progrès pour le plus grand bien de tous.  Ce mélange est "vivifiant".

                                              Tous ces "endroits à souvenirs" que je viens d'énumérer en quelques mots, mais sur lesquels j'aurais tant à dire, j'y tiens et je les entretiens dans ma mémoire. Ce sont mes compagnons maintenant que je reste seule. Mais ils ne me rendent pas triste, bien au contraire...Je ne pourrais pas vivre sans eux...Et qui pourrait en parler, sinon moi ? Être doyenne, ça crée des obligations !!!


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  •                                       Instructive, distrayante,  mais....

                                          Lorsqu'elle a fait son apparition chez nous, en 1960, nous avions imposé des règles...et des limites...Il y avait des jours, il y avait des horaires...Ça, c'était surtout au début... Puis, petit à petit, les enfants grandissant, nous avons élargi un peu les horaires...Nous étions alors des parents dont les enfants allaient à l'école ou au lycée et qui avaient autre chose à faire qu'être "accros" à la télévision. Soyons franche, ce n'était pas trop mal admis par la jeunesse ! enfin...pas ouvertement ! Mais nous étions responsables d'eux, de leur santé tant physique que morale..C'était encore "jadis" !

                                          Mais, quand les petits-enfants sont arrivés, les moeurs avaient déjà bien évolué ! Et nous avec ! et quand ils venaient en vacances, notre rôle n'était pas de mettre des interdits, enfin pas trop ! On n'avait pas droit à la télévision (programmes pour enfants s'entend) toute la journée. S'ils venaient à la campagne, ce n'était pas pour rester enfermés, ils avaient ça à PARIS ! Alors, télévision permise quand il pleuvait (ce n'est pas courant en Provence) et les jours de grand mistral (beaucoup plus courant), ce qui faisait que j'entendais dire "chic, il y a du mistral"...tous les goûts sont dans la nature ! Mais quand même, en bonne grand-mère, et les progrès étant arrivés, j'enregistrais en cours d'année des émissions enfantines que je resservais à l'occasion...Il y avait notamment DISNEY CHANEL je crois, varié entre dessins animés et série...A l'époque c'était ZORRO ! Ah ! ce ZORRO, c'était le préféré de Loïc, alors âgé de 5 ans à peine et qui vivait véritablement les aventures ! Je me souviens qu'un jour où il était confortablement installé dans notre chambre à regarder son feuilleton préféré, il est arrivé vers moi, tout tremblant, rouge d'émotion et avec son "petit seveu sur la langue", il m'a dit "Mazitte, cette fois, Zorro il est en danzer ". Il avait vraisemblablement beaucoup plus peur que Zorro qui se sort toujours de toutes les situations...Et j'ai pensé alors que cette télévision qui tient les enfants tranquilles, qui est instructive parfois si elle n'est pas toujours éducative, pouvait être un DANGER pour les petits...Ils vivent intensément ce qu'ils voient sur l'écran, ils s'identifient au héros "flic ou voyou"... Ils font même des cauchemars parfois... Ils ne savent pas faire la part du réel et de l'imaginaire !  Ils sont alors dans un autre monde...Et si c'était dangereux pour leur santé ? On voit de plus en plus de violences à la télévision, les enfants sont pour certains, de plus en plus violents envers leurs proches, envers leurs enseignants.....Et si tout ça était lié ? La publicité qui pourrait être anodine, est très souvent agressive aussi : l'enfant, pour vanter un produit, trouve que ses parents sont un peu débiles...Il leur parle comme à des demeurés.... Ne nous étonnons pas des résultats...Si on pouvait, nous adultes, ne pas gâcher les magnifiques outils que nous avons à notre disposition à notre époque (télévision, ordinateur et internet) en les employant, même un tout petit peu, à l'éducation de nos enfants...C'est un rêve que je fais, et s'il pouvait se réaliser, quelle joie ça serait.

                                             Nos petits "ZORROS" sont en danger.... Aidons-les à vivre comme des enfants de leur âge, épargnons-leur dans leurs distractions des scènes de violence...ah! oui, je sais, en bas de l'écran, à droite, est écrit "interdit aux moins de 10 ans"....Est-ce suffisant pour se donner bonne conscience ? Nous avons des responsabilités envers nos petits...Exerçons-les....Est-il si difficile d'interdire...ce qui est interdit ?
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